mercredi 4 novembre 2015

Les Caisses Locales du Crédit Agricole


 La Caisse Locale est la cellule de base du Crédit  Agricole. Elle est administrée par un Conseil d’administration disposant de pouvoirs de gestion délégués à son Président. C’est une société civile coopérative, dont les parts sociales sont détenues par les sociétaires.

Sur le terrain, elle est incarnée par ses administrateurs. Ce sont des hommes et des femmes engagés dans l'animation locale, qui font remonter les interrogations du terrain auprès des Caisses régionales. Ils forment un lien vivant entre sociétaires et Caisses régionales. Ce sont eux qui incarnent les Caisses locales et fondent la légitimité du Crédit Agricole.

La fonction d'administrateur est bénévole. Chacun y consacre le temps qu'il peut, la Caisse locale répartissant les missions entre ses différents administrateurs : intervention en interne, auprès des sociétaires et des instances régionales, ou en externe, en représentation de la Caisse. Les administrateurs reçoivent des formations sur les pratiques bancaires, l'économie, la monnaie, etc.


 La Caisse locale participe à la gestion de la Caisse régionale dont elle est elle-même sociétaire. Elle est également chargée de soutenir le développement local en valorisant des initiatives sur son territoire. Les grandes décisions sont prises lors de l’Assemblée générale, un temps fort durant lequel chacun a la possibilité de dialoguer directement avec les dirigeants de sa banque. 

La Caisse locale est l’organe coopératif qui représente les sociétaires tandis que l’agence est chargée de l’activité bancaire. Souvent, le chef d’agence est le secrétaire administratif de la Caisse locale.
Caisses locales du Crédit agricole Loire et Haute-Loire

Cette semaine, j’ai adressé un courrier à tous les présidents des caisses locales de Loire et Haute-Loire, dont voici le texte :
Monsieur le Président,
Le 22.02.1996 par temps de neige, je suis victime d’une chute devant mon lieu de travail, le Crédit agricole Loire Haute-Loire, 94, rue Bergson à Saint-Etienne. Le traitement fautif et malveillant des fractures me conduit à engager des procédures en responsabilité et indemnisation. Curieusement, aucun de mes supérieurs hiérarchiques, ni même le DRH, encore moins la Direction Générale ne me convoquent pour me demander des explications, alors même que je désigne la Caisse régionale coresponsable d’une tentative d’homicide volontaire ! Cependant, toutes les décisions sont prononcées à mon encontre et un harcèlement sans limite se met en place dans ma vie professionnelle et ma vie privée. Je résume les faits sur www.imaginedanslebonsens.com et sur www.imaginedanslebonsens.blogspot.com .

Le temps passant, je pressens progressivement que l’indemnisation de l’accident a peut-être été réglée par une négociation signée à mon insu, le notaire gestionnaire de mes évènements familiaux pouvant avoir été désigné pour défendre mes intérêts. Toutefois, la lettre que je lui adresse en recommandée avec A.R. le 15 mai 2013 est à ce jour sans réponse. Je lui demande, entre autres, si je dois adresser une lettre pour sortir de l’accord, à qui et dans quels termes.

Par un courrier recommandé avec AR. en date du 2 juillet 2013, je demande au Directeur Général du Crédit agricole à Saint Etienne, s’il y a eu un règlement amiable destiné à solder le préjudice du traitement désastreux de l’accident du 22.02.1996. Au cas échéant, je pose les questions : pourquoi n’a-t-on pas sollicité mon approbation ? Comment sortir de cette négociation puisque j’en ignore les règles ? Malheureusement, je n’ai pas reçu de réponse à mes interrogations.

Je ne sais comment je dois comprendre le silence du notaire et de la banque. 

Aussi, le 8 octobre 2013, j’adresse un courrier à Mr le Procureur de Gap, pour lui demander si l’accord signé entre les parties sans mon consentement, dont les règles semblent relever d’un roman de très mauvais goût, peut m’être opposé juridiquement. Je n’ai pas reçu de réponse.

Je décide alors de soumettre l’étude de ma situation à            , Directeur Général de Crédit agricole S.A., par un courrier en date du 24 décembre 2013. Malheureusement, mes propos semblent ne pas avoir retenu son attention, puisque qu’il n’y a pas répondu.

Mais les conséquences du traitement désastreux de mes fractures s’aggravent. Le déséquilibre de la colonne vertébrale rend les gestes du quotidien de plus en plus difficiles sans que ni la justice, ni les médecins, ni les organismes censés indemnisés le préjudice ne veuillent faire le lien avec l’accident du travail du 22.02.1996.

C’est pourquoi je me permets de m’adresser à vous qui êtes le fondement de la légitimité du Crédit agricole. Accepterez-vous d’intervenir auprès de       , Directeur Général du Crédit agricole Loire Haute-Loire, pour qu’il réponde aux questions posées dans mon courrier du 02.07.2013 : un accord a-t-il été signé après l’A.T. du 22.02.1996 ? Au cas échéant, comment sortir de cette négociation puisque j’en ignore les règles ?

Par avance je vous remercie, et vous adresse, Monsieur le Président, mes respectueuses salutations.

J’ai adressé le même courrier à Monsieur le Président du Conseil d’Administration de la Caisse régionale du Crédit agricole Loire Haute-Loire.


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PIECES JOINTES
PJ à article blog du 04.11.2015






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