Sur le terrain, elle est incarnée par ses administrateurs. Ce sont des hommes et des femmes engagés dans l'animation
locale, qui font remonter les interrogations du terrain auprès des Caisses
régionales. Ils forment un lien vivant entre sociétaires et Caisses régionales.
Ce sont eux qui incarnent les Caisses locales et fondent la légitimité du
Crédit Agricole.
La fonction d'administrateur est
bénévole. Chacun y consacre le temps qu'il peut, la Caisse locale répartissant
les missions entre ses différents administrateurs : intervention en interne,
auprès des sociétaires et des instances régionales, ou en externe, en
représentation de la Caisse. Les administrateurs reçoivent des formations sur
les pratiques bancaires, l'économie, la monnaie, etc.
La Caisse locale
participe à la gestion de la Caisse régionale dont elle est elle-même
sociétaire. Elle est également chargée de soutenir le développement local en
valorisant des initiatives sur son territoire. Les grandes décisions sont
prises lors de l’Assemblée générale, un temps fort durant lequel chacun a la
possibilité de dialoguer directement avec les dirigeants de sa banque.
La Caisse locale est
l’organe coopératif qui représente les sociétaires tandis que l’agence est
chargée de l’activité bancaire. Souvent, le chef d’agence est le secrétaire
administratif de la Caisse locale.
Caisses locales du Crédit agricole Loire et Haute-Loire
Cette semaine, j’ai
adressé un courrier à tous les présidents des caisses locales de Loire et
Haute-Loire, dont voici le texte :
Monsieur le Président,
Le 22.02.1996 par temps de
neige, je suis victime d’une chute devant mon lieu de travail, le Crédit
agricole Loire Haute-Loire, 94, rue Bergson à Saint-Etienne. Le traitement
fautif et malveillant des fractures me conduit à engager des procédures en responsabilité
et indemnisation. Curieusement, aucun de mes supérieurs hiérarchiques, ni même
le DRH, encore moins la Direction Générale ne me convoquent pour me demander
des explications, alors même que je désigne la Caisse régionale coresponsable
d’une tentative d’homicide volontaire ! Cependant, toutes les décisions
sont prononcées à mon encontre et un harcèlement sans limite se met en place
dans ma vie professionnelle et ma vie privée. Je résume les faits sur www.imaginedanslebonsens.com et sur www.imaginedanslebonsens.blogspot.com .
Le
temps passant, je pressens progressivement que l’indemnisation de l’accident a
peut-être été réglée par une négociation signée à mon insu, le notaire
gestionnaire de mes évènements familiaux pouvant avoir été désigné pour
défendre mes intérêts. Toutefois, la lettre que je lui adresse en recommandée
avec A.R. le 15 mai 2013 est à ce jour sans réponse. Je lui demande, entre
autres, si je dois adresser une lettre pour sortir de l’accord, à qui et dans
quels termes.
Par
un courrier recommandé avec AR. en date du 2 juillet 2013, je demande au
Directeur Général du Crédit agricole à Saint Etienne, s’il y a eu un règlement
amiable destiné à solder le préjudice du traitement désastreux de l’accident du
22.02.1996. Au cas échéant, je pose les questions : pourquoi n’a-t-on pas
sollicité mon approbation ? Comment sortir de cette négociation puisque
j’en ignore les règles ? Malheureusement, je n’ai pas reçu de réponse à
mes interrogations.
Je
ne sais comment je dois comprendre le silence du notaire et de la banque.
Aussi,
le 8 octobre 2013, j’adresse un courrier à Mr le Procureur de Gap, pour lui
demander si l’accord signé entre les parties sans mon consentement, dont les
règles semblent relever d’un roman de très mauvais goût, peut m’être opposé
juridiquement. Je n’ai pas reçu de réponse.
Je
décide alors de soumettre l’étude de ma situation à , Directeur Général de Crédit
agricole S.A., par un courrier en date du 24 décembre 2013. Malheureusement,
mes propos semblent ne pas avoir retenu son attention, puisque qu’il n’y a pas
répondu.
Mais
les conséquences du traitement désastreux de mes fractures s’aggravent. Le
déséquilibre de la colonne vertébrale rend les gestes du quotidien de plus en
plus difficiles sans que ni la justice, ni les médecins, ni les organismes
censés indemnisés le préjudice ne veuillent faire le lien avec l’accident du
travail du 22.02.1996.
C’est
pourquoi je me permets de m’adresser à vous qui êtes le fondement de la
légitimité du Crédit agricole. Accepterez-vous d’intervenir auprès de , Directeur Général du Crédit agricole
Loire Haute-Loire, pour qu’il réponde aux questions posées dans mon courrier du
02.07.2013 : un accord a-t-il été signé après l’A.T. du 22.02.1996 ?
Au cas échéant, comment sortir de cette négociation puisque j’en ignore les
règles ?
Par
avance je vous remercie, et vous adresse, Monsieur le Président, mes
respectueuses salutations.
J’ai adressé le même courrier à Monsieur le
Président du Conseil d’Administration de la Caisse régionale du Crédit agricole
Loire Haute-Loire.
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PIECES JOINTES
PJ à article blog du 04.11.2015
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