J’ai trouvé aujourd’hui dans ma boîte à lettres, l’avis d’imposition de la taxe d’habitation 2015 (établi le
23.10.2015 - payable le 31.10.2015), concernant un appartement présumé vide de l’immeuble d’Autun,
puisque ni le notaire, ni l’administration n’ont voulu communiquer clairement
sur sa situation.
En vertu de la donation parentale, le dit-notaire gestionnaire
du bien devrait me rétrocéder les loyers depuis le 30
novembre 2014, date du décès de ma mère. Et comme il n’en est rien, j’ai confié
à ALPAVOCAT le règlement de l’impôt, à prélever sur les créances.
Ce cabinet juridique gapençais a désigné une jeune
avocate pour répondre à mon dernier courrier. Voici le texte :
J’accuse meilleure réception de votre
courrier du 23 courant.
Après vérification, je vous confirme
que la provision a bien été acquittée ; en revanche, vous n’avez toujours
pas retourné la convention d’honoraires paraphée et signée.
Je vous remercie, en conséquence, de
bien vouloir faire le nécessaire dans les plus prompts délais, afin que je
puisse prendre en charge votre dossier.
Je vous précise que, néanmoins,
j’écris d’ores et déjà au notaire, afin de ne pas retarder outre mesure
l’avancement de votre dossier mais vous rappelle qu’il est nécessaire de me
retourner sans délai la convention.
Demeurant à votre disposition,
Comment
dois-je comprendre ces propos ? La convention d’honoraires prévoit le
versement d’une première provision pour un règlement amiable, et le versement
de plusieurs autres pour engager la procédure. Si je retourne la convention d’honoraires
signée, implicitement, je ne laisse aucune chance au règlement amiable. Amis
lecteurs, si vous n’êtes pas d’accord avec ce raisonnement, faites le moi
savoir…
Et si votre esprit créatif
parvenait à trouver le moyen de me contacter, çà serait drôle, non ?
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PJ
à article blog du 24.11.2015
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