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Aujourd’hui, en fin d’après midi, j’ai rencontré le chimiothérapeute à l’hôpital de GAP, qui a reçu les conclusions désastreuses du Tep-scan. Combien de temps me reste-t-il ? Au pire, quelques mois, au mieux un à deux ans. Après échanges, nous avons conclu, que dans mon cas, il était préférable de recourir aux soins palliatifs.

Pour l’heure, je reste avec mes problèmes de statique et mes douleurs qui pourraient, peut-être, selon le chimiothérapeute, être une conséquence du cancer. Il y a de quoi effectivement s’interroger : Lamaline, l’anti-douleur composé de paracétamol, poudre d’opium et caféine prescrit par mon médecin traitant, est totalement inefficace. Ce qui confirme une première observation après ingestion, il y a quelques années, d’un antalgique à base de paracétamol : les douleurs induites par les ondes de Nogier seraient réfractaires aux médicaments. Ce constat me rappelle les lumières  vues dans la maison de Clémence : elles passaient devant un miroir qu’elles éclairaient, mais leur éclat lumineux n’était pas renvoyé par le dit-miroir qui apparaissait comme une forme ronde noire inerte. Ce qui laissait supposer l’origine inconnue des lumières.

Afin d’obtenir des prestations pour l’emploi des personnes de l’ADMR qui viennent s’occuper de l’intendance du studio, j’ai renvoyé à la MSA un nouveau dossier de renouvellement pour 2016. Parce que, curieusement, le premier envoi en date du 3.12.2015 n’est jamais arrivé au service concerné.