La nuit où je suis arrivée aux
Urgences à l’hôpital de Gap après une crise de dyspnée, des radios pulmonaires
ont été réalisées.
Un mois plus tard, le Médecin
Responsable du Service demande de nouvelles radios pulmonaires le 3 mars 2016.
Questionné, le praticien m’explique que les clichés de Gap ne sont pas dans mon
dossier, qu’ils ont été perdus à Gap !
Le 9 mars 2016, un scanner est
réalisé. Une ponction pulmonaire est alors envisagée, une date est fixée :
le 16 mars 2016. Avant de pratiquer le geste chirurgical, une radio de contrôle
permet au Pneumologue de prendre une décision : il ne
ponctionne pas.
Le 21 avril 2016, de nouvelles
radios pulmonaires sont demandées. Le diagnostic s’aggrave, mais le Pneumologue
choisit de ne rien faire.
Le 10 mai, il est prévu que je me présente devant une commission médicale à Gap, et le vendredi 13 mai, observez combien je n’hésite pas à vivre dangereusement, je quitterai le Centre médical pour rejoindre une maison de retraite dans le Champsaur (Hautes Alpes).
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