Mercredi après midi, je suis
allée consulter le médecin à la Joue du Loup qui m’a entendue entre deux
traumatismes et départs d’ambulance. A la fin de l’entretien, il m’explique que
des examens complémentaires vont devoir justifier d’une hospitalisation. J’acquiesce,
il insiste sur la nécessité de sa décision, oui,
je comprends, persiste, vous
êtes bien d’accord ?, oui évidemment, saisit son portable,
sort de son bureau pour téléphoner, revient après quelques instants et annonce
qu’il va prendre contact avec le service gynécologie de l’hôpital de Gap. Il
expose la situation à un médecin qui répond au frais prénom de Pimprenelle –adorable,
non ?- et m’informe qu’il n’est plus question d’hospitalisation parce que Pimprenelle
accepte de me recevoir en urgence. Une heure plus tard, j’entre dans sa salle d’examen :
questions – réponses – diagnostic - biopsies. Et que çà saute ! La jeune
femme, qui porte merveilleusement bien son prénom, cale un rendez-vous le
vendredi 22 janvier pour m’annoncer le protocole de traitement du cancer et
conseille de faire, auparavant, un scanner pour vérifier l’origine de mes
essoufflements. Cet après midi, je dois rappeler le service de médecine
nucléaire du CHU de Grenoble pour fixer un rendez-vous dans les tout prochains
jours.
Quand à mon bras qui n’arrête pas
d’enfler puis de durcir, des séances de kinésithérapie devraient améliorer la
situation. Super DX, lui, continue d’agir en toute impunité, même si j’ai
alerté les médecins de ses sévices. Non seulement, il renforce ses nuisances
électromagnétiques, mais aussi il se focalise sur Internet. Il ne permet la
connexion que quelques heures en milieu de journée avec un débit préhistorique.
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