A la fin du mois de juillet 2008, je m'aperçois que je présente
des symptômes dont je souffre uniquement à mon domicile : contractures
musculaires, désordres cardiaques, vertiges, nausées, migraines, acouphènes,
fatigue, inflammations, insomnies ... Après quelques semaines, je rapproche
ces nuisances à mes voisins du dessus dont les agisssements s'inspirent
vraisemblablement de la pratique de la photoperception cutanée, qui est un
phénomène physiologique : la peau joue le rôle d'un radar capable de comprendre
des informations électromagnétiques venues de l'extérieur. Pour cela ils
utilisent certainement un matériel qui s'apparente à ceux qu'utilise
l'auriculomédecine, mais dont l'usage a été détourné à des fins malveillantes.
Ces fréquences du Docteur Nogier utilisées frauduleusement, relayées par une
puce RFID placée dans une dent, la pose de micros et la modification du champ
électromagnétique aggravent considérablement ma santé fragilisée par les séquelle
de l’accident du travail du 22.02.1996.
Aussi, pour mesurer les champs électriques de mon appartement,
j'achète un appareil et pour l'utiliser dans de bonnes conditions, je contacte
plusieurs associations de mesure de l'air, dont AMPASEL à Saint Etienne.
Curieusement, aucune ne souhaite donner suite à ma demande.
Le 10 octobre 2008, j'engage alors une procédure sur
requête, afin d'obtenir du président du TGI de Saint Etienne qu'il missionne en
urgence une association. Son greffe m'informe par courrier qu'une ordonnance
sur requête doit être présentée par un avocat du barreau local, sans préciser
que je peux adresser ma demande moi-même devant le Tribunal d'Instance.
Le 20 octobre 2008, j'adresse à PROMOTELEC
(Association pour la promotion de la sécurité et du confort électriques dans le
bâtiment), un bon de commande accompagné de son règlement pour un diagnostic à
mon domicile. A ma grande surprise, PROMOTELEC me retourne le bon de commande
et le chèque qui l'accompagne.
Le 18 avril 2009, je contacte l'entreprise ERDF
(Electricité Réseau Distribution France - filiale à 100 % d' EDF). Mais
mon courrier reste sans réponse.
Le 9 juillet 2009, j'adresse à Monsieur le Président
du Tribunal d'Instance, une demande de procédure sur requête afin qu'il
missionne une association capable de m'enseigner le fonctionnement d'un
appareil de mesure de l'air. N'ayant pas de réponse, le 4 août 2009,
j'envoie une nouvelle requête en recommandé avec A.R. Mais, face au
silence persistant de Mr le Président du Tribunal d'Instance, je saisis la Cour
européenne des Droits de l'Homme ; et dans le même temps, je reçois
l'ordonnance du Tribunal d'Instance qui rejette mes requêtes.
Le 4 août 2009, par un courrier recommandé avec
A.R., j'écris à COGECOOP, Syndic de l'immeuble, afin de l'informer des
nuisances que je rencontre avec mes voisins qui peuvent être bruyants la nuit.
Je lui demande, en outre, les nom et adresse du propriétaire de leur
appartement, afin de le contacter comme le prévoit la législation. Malgré le
retour de l'avis de réception dûment signé, je n'ai pas de réponse. Or, je ne
crois pas à la négligence de COGECOOP. Se pose alors la question : qui est
propriétaire de l'appartement de mes voisins ?
Tous ces dysfonctionnements attestent du caractère
délictuel de la transformation du champ électrique de mon lieu de vie, qui
représente une grave atteinte à mon intégrité physique. Cette volonté délibérée
de me nuire s'inscrit dans un contexte de harcèlement qui perdure depuis l’accident du travail du 22.02.1996 dont le
traitement fautif et malveillant m'a conduite à engager plusieurs actions en
responsabilité et indemnisation.
Le 25 novembre 2009, je me présente devant la
Juridiction de Proximité du Tribunal d'Instance de Saint Etienne. En
début de matinée, lorsque les parties sont appelées, l'Avocat de mes voisins se précipite afin d'entretenir le
Président. Sans me faire connaître l'objet de leur entretien, le Magistrat
explique ensuite, que (je cite) néannmoins (?), il m'entendra. Puis, après avoir patienté
une petite heure, l’Avocat quitte la salle d'audience. Au moment de l'examen du
dossier, je me présente seule devant le Tribunal sans connaître le motif de
l'absence de la partie adverse. A la fin de l'audience, Mr le Juge de Proximité
fixe la date de jugement : 19 mars 2010.
Dans leurs conclusions rédigées par leur avocat le 9 novembre 2009, mes voisins ont
l'imprudence d'affirmer que je souffre de graves troubles psychologiques, sans
en apporter la preuve médicale. Ils insistent et affirment que les faits sont
le fruit de mon imagination et de ma pathologie. Leur défense est facile, osée
et inconsistante.
Ils croient être harcelés de doléances, alors que je
n'ai fait qu'appliquer la procédure légale enseignée par l'AVDTV , une
association de victimes de troubles de voisinage. A la suite de mon premier courrier
du 1er mars 2009, mon voisin, Monsieur P. déclare dans une main courante qu'aux
soirs des faits (tapage nocturne), il était absent de son domicile.
Curieusement, il se sent concerné, à tort, puisque le courrier est adressé à
Madame P., qui, elle, était bien présente ces jours là. Mr et Mme P.
qualifient le contenu de mon journal (pièce jointe à mon mémoire) d'injurieux
et d'outrancier. Sachant que ce document relate leurs propres agissements, je
n'ai rien à ajouter à leur auto flagellation.
Quatre attestations établies par des voisins sur
papier libre, sont versées aux débats :
- deux sont exemptes de dates et d'identité, elles
sont donc invalides.
- une autre est rédigée
par une voisine dont la chambre n'est pas adjacente à l'appartement de Mr et Mme
P.,
- une dernière attestation émane d'une personne qui
vit au 6e étage, soit trois étages plus haut que Mr et Mme P..
Ces deux derniers documents ont été rédigés le 28
mai 2009. Ainsi, je note que mes voisins n'ont pu recueillir de témoignage depuis
le 17 octobre 2009, date de la circulaire que j'ai adressée à l'ensemble des
habitants de l'immeuble. Je pense en effet, qu'il était de mon devoir de les
éclairer sur les éventuels symptômes inexpliqués dont certains peuvent
souffrir, suite à la modification du champ électromagnétique.
Enfin, je remarque qu'aucun voisin vivant au 4e
étage, soit juste au dessus de Mr et Mme P., n'a rédigé de témoignage.
Le 26 novembre 2009, je reçois par
erreur une facture d'honoraires ainsi que le rapport d'audience de l’Avocat où
il informe ses clients (mes voisins) que
le Président d'audience a largement limité mes explications. Lequel a
préféré, en effet, me poser des questions auxquelles j'ai répondu assez
docilement, tant j'étais décontenancée par la tournure des évènements. Je n'ai
donc pas eu l'occasion de lire mon argumentation rédigée quelques
jours auparavant sur mon ordinateur piraté.
Questionné au moment du renvoi de la facture reçue
par erreur, l’Avocat explique qu’en raison d'une audience chargée, il a informé
le Président qu'un de ses confrères déposerait le dossier (je ne m'en suis pas aperçue), s'il n'était pas appelé rapidement.
Il précise que cette démarche d'usage ne gêne en rien le bon rendu de la
justice. Sauf que, contrairement à
l'usage, je n'ai pas été informée.
Le 29 juillet 2010, je reçois le jugement en dernier
ressort du Tribunal de Proximité : je suis condamnée à payer la somme de 3000 €
à mes voisins. Et j'observe plusieurs irrégularités :
1) je me suis présentée seule devant le Président du
Tribunal, la partie adverse étant absente. Il y a donc violation du
principe du contradictoire.
2) le jugement a été rendu le 23 juillet 2010, soit quatre mois après la date fixée par le
Juge de Proximité le jour de l'audience.
3) la décision du Tribunal a été notifiée par courrier simple.
Mes voisins travaillent pour mes adversaires qui ont prémédité
cette affaire étonnante en représailles d'une action contre un huissier de justice, à leur botte. Mr
et Mme P. n'ont aucun mobile, si ce n'est l'appât du gain. Pour cela, ils
utilisent sans complexe ni état d'âme un matériel médical dont l'usage est
détourné, avec une formation rudimentaire forcément dispensée par un
professionnel, dont l'identité se trouve peut-être à la source du conflit.
Ils portent atteinte à mon intégrité physique et ma vie privée, avec violation
du domicile, violences psychologiques, préjudice financier.
Leurs agissements me contraignent à vendre mon
appartement dans des conditions scandaleuses, puisque je dois le brader. Dans l’appartement
que j’occupe par la suite, je rencontre les mêmes désagréments. Epuisée,
je me réfugie à la montagne, où là encore, mes adversaires mettent en place le même
dispositif.
" Dans leurs conclusions rédigées par leur avocat le 9 novembre 2009, mes voisins ont l'imprudence d'affirmer que je souffre de graves troubles psychologiques, sans en apporter la preuve médicale. Ils insistent et affirment que les faits sont le fruit de mon imagination et de ma pathologie. Leur défense est facile, osée et inconsistante."
RépondreSupprimerSi de façon formelle et légale il leur appartient bien d'apporter la preuve de vos troubles, la lecture de votre blog suffit de façon empirique à confirmer ces mêmes troubles! En résumé vous êtes effectivement complétement folle! Seul un illettré, ne pouvant lire votre prose hallucinée et paranoïaque, pourrait en douter! A 99% mon commentaire ne servira à rien ,sinon à vous conforter dans vos théories du complot. Je le fais pour le 1% qui pourrait vous convaincre à enfin consulter et vous faire soigner, avant tout pour votre propre bien et, collatéralement, pour vous faire cesser de faire "suer la terre" entiere en général, et j'imagine vos proches en particulier. ED ( je ne donne pas mon nom, de crainte de voir débarquer une horde d'avocats, huissiers etc....)